20. Anamnèse

Cette acclamation liturgique, placée après la consécration eucharistique,
Nous annonçons ta mort
Seigneur Jésus,
Nous proclamons ta résurrection,
Nous attendons ta Venue dans la gloire

nous rappelle le cœur de notre foi en Jésus : il est né et mort parmi nous ; il est ressuscité et a été exalté ; il viendra glorieusement à la fin des temps.

En prenant le temps de parcourir ces différentes étapes, c’est une façon pour nous de nous approprier le mystère pascal. Cette étude biblique convient bien pendant le temps du carême et de Pâques.


TABLE DES MATIÈRES

I. NOUS ANNONÇONS TA MORT
Jésus entre comme Messie à Jérusalem — Lc 19, 29-40
Jésus lave les pieds de ses disciples — Jn 13, 1-20
Jésus institue l’eucharistie — Lc 22, 14-20
Jésus prie pour les siens — Jn 17, 9-21
Jésus prie à Gethsémani — Mt 26, 36-46
Jésus est trahi par les siens — Mt 26, 47-56
Jésus est renié par Pierre — Lc 22, 54-62
Jésus subit les outrages — Mt 26, 67-68 et 27, 26-31
Jésus est jugé et condamné à mort — Jean 18, 28 – 19, 16
Jésus est soutenu par Simon de Cyrène — Lc 23, 26
Jésus rencontre les femmes de Jérusalem — Luc 23, 27-31
Jésus ouvre le Royaume à un bandit — Lc 23, 32. 39-43
Jésus, Marie et Jean — Jn 19, 25-27
Jésus meurt sur la croix — Mc 15, 33-37, Lc 23, 46 et Jn 19, 28-30
Jésus est transpercé par la lance — Jn 19,31-37
Jésus est mis au tombeau — Mt 27,57-66

II. NOUS PROCLAMONS TA RÉSURRECTION
Jésus est ressuscité d’entre les morts : le tombeau vide — Mc 16,1-8
Jésus ressuscité se manifeste aux croyants — Lc 24,13-35
Jésus donne à ses disciples la mission de pardonner — Jean 20, 19-23
Jésus reproche à ses disciples leur incrédulité — Mc 16, 9-15
Jésus confie à Pierre le soin de son troupeau — Jn 21, 15-19
Jésus envoie ses disciples en mission — Mt 28, 16-20

III. NOUS ATTENDONS TA VENUE DANS LA GLOIRE
Jésus est emporté au ciel — Lc 24, 50-53
La communauté attend la venue de l’Esprit — Ac 1, 12-14
L’Esprit Saint est donné à l’Église — Ac 2, 4. 16-17. 32-33. 42-47
Les anges annoncent la Venue glorieuse de Jésus — Ac 1, 9-11
Pas de dates ! — Mt 24, 36 et 25, 13 ; Ac 1, 6-7


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19. Visages de femmes

Pourquoi « le collier » des femmes ? En civilisation de tradition orale, on appelle « collier » une composition par regroupement de textes. Les textes sont présentés pour faire comme les perles qui se suivent, reliées entre elles par un fil et disposées dans un certain ordre. Les textes sont disposés de façon structurée pour être mémorisables et donc présentés à la mémoire de « l’appreneur » (Marcel Jousse).

Ainsi, comme un collier qui se porte autour de la gorge, lieu du souffle qui passe et là où naît la parole, ainsi le disciple-appreneur porte en lui la parole de son maître, c’est à dire son enseignement.

L’évangile de Marc est dans sa totalité un collier de perles, et dans son contenu, recèle plusieurs petits colliers qui constituent une démarche, une conversion, une révélation. Exemples : le collier des comparaisons, le collier des femmes, le collier des guérisons, etc.

Cette étude est réalisée en prenant comme repère le livre de Gilles EMERIT, Le collier des femmes. Évangile selon saint Marc.


TABLE DES MATIÈRES

I. LA BELLE-MÈRE DE PIERRE : LE SERVICE
La belle-mère de Simon — Mc 1, 29-30
Une guérison de la fièvre — Mc 1, 30-31
Elle les servait — Mc 1, 31
Jésus guérit au cœur de l’Église — Mc 1, 32-34

II. LA MÈRE DE JÉSUS : L’OBÉISSANCE
Se tenant dehors, ils le firent appeler — Mc 3, 31-32
Qui est ma mère ? et mes frères ? — Mc 3, 33-35
Voici ma mère et mes frères — Mc 3, 34
Faire la volonté de Dieu — Mc 3, 35

III. LA FEMME EN ÉCOULEMENT DE SANG : L’AUDACE
Un récit et deux épisodes — Mc 5, 22-43
Ta foi t’a sauvée — Mc 5, 25-34

IV. LA FILLE DE JAÏRE : L’ESPÉRANCE
Jaïre, le chef de synagogue — Mc 5, 22-24 ; 35-36
Trois apôtres — Mc 5, 37
Talitha koum, lève-toi ! — Mc 5, 38-43

V. HÉRODIADE ET SA FILLE : LA PERVERSITÉ
La parole tranchante du prophète — Mc 6, 14-18
Hérodiade, une femme manipulatrice — Mc 6, 18-24
Hérodiade, la femme perverse — Mc 6, 25-29

VI. LA FEMME GRECQUE : LA PERSÉVÉRANCE
Encore une mère et sa fille — Mc 7, 24-26
Un bel acte de foi — Mc 7, 27-30
Oser importuner Dieu — Lc 18, 1-8 et 11, 5-10
La femme donne une impulsion — Jn 2, 4. 10

VII. LA VEUVE PAUVRE : L’ABANDON À LA PROVIDENCE
Les veuves en Israël — Ex 22, 22-24 ; Dt 24, 17 ; Ps 146, 9
Les riches en religion et en porte-monnaie — Mc 12, 38-41
Du superflu au nécessaire pour vivre — Mc 12, 42-44

VIII. LA FEMME AU FLACON D’ALBÂTRE : LE DON DE SOI À DIEU
Un flacon d’albâtre brisé — Mc 14, 3
Un parfum de nard répandu — Mc 14, 3
Un geste mémorable — Mc 14, 4-9
Une attitude ultime — Mc 14, 9-11

IX. LA SERVANTE DU GRAND PRÊTRE : LA MÉDISANCE
La parole qui tue — Mc 14, 66-72
La langue mauvaise — Mt 12, 34-35 ; Jc 3, 3-8

X. LES MYRROPHORES : LE TÉMOIGNAGE
Trois femmes, dont Marie-Madeleine — Mc 15, 47 – 16, 14
La femme visionnaire — Marc 15, 47 – 16, 14
La nécessité de l’expérience spirituelle — Marc 15, 47 – 16, 14


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18. L’araméen, langue de Jésus

On sait que les Évangiles nous ont été transmis en grec. Mais quelle langue Jésus a-t-il parlé ? Pour répondre à cette question, vous pouvez lire les deux articles placés au début de cette étude : les langues à l’époque de Jésus, et les langues parlées par Jésus.

Vous comprendrez mieux alors le sens de l’enquête sur la recherche des traces de l’araméen dans les évangiles et le N.T. Elle permet d’étayer la réponse : Jésus, qui maîtrisait parfaitement l’hébreu, et parlait probablement un peu de grec comme tout le monde, utilisait très habituellement dans ses prédications sa langue maternelle : l’araméen.


TABLE DES MATIÈRES

PRÉLIMINAIRES
Les langues à l’époque de Jésus
Les langues parlées par Jésus

I. EXPRESSIONS
« Talitha koum [i] » = « Fillette, lève-toi ! » — Marc 5, 41
« Élôï, Élôï, lema sabakhthani ? » = « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » — Mc 15,34
« Maranatha » = notre Seigneur vient ou est venu — 1 Co 16, 22
« Ephphata » = « Ouvre-toi donc ! » — Mc 7,34
« Raka » = crachat… — Mt 5,22
« Rabbouni » = (mon) grand maître — Mc 10, 51 et Jn 20,16

II. LES NOMS DONNÉS À DIEU ET AU CHRIST
« Abba » = mon Père, Père chéri, Papa — Mc 14, 36 ; Rm 8, 15 ; Ga 4, 6
« Iêsous » = Jésus — Mt 1,21 ; etc.

III. NOMS DONNÉS AU DIABLE ET À L’ENFER
« Satanas » [Satan] = l’Adversaire — Mt 4,10 ; Mc 4,15 ; Lc 10,18 ; etc.
« Mamon » = (dieu de) la Richesse — Mt 6, 24 ; Lc 16, 13

IV. NOMS PROPRES DE PERSONNES HUMAINES
« Kêphas » [Céphas] = roc, pierre, rocher — Jn 1, 42 ; 1 Co 15, 5 ; Ga 2, 19
« Boanêrges » = fils de la colère — Mc 3,17
« Mariam » [Marie] = maîtresse, dame élevée — Jn 20,16
« Martha » [Marthe] = maîtresse, dame puissante — Lc 10, 38 ; Jn 11, 1
« Sapphira » [Saphire] = belle, gracieuse — Ac 5,1
« Tabitha » = gazelle, biche — Ac 9,36
« Bar-Abbas » = fils du père — Mt 27, 16-17 ; Mc 15, 7 ; Lc 23, 18 ; Jn 18, 40
« Bar-Iôna » = fils de Jonas — Mt 16, 17
« Bar-Iêsous » [Bar-Jésus] = fils de Jésus/Josué — Ac 13,6
« Bar-Nabas » [Barnabé] = fils de prophète — Ac 4,36 ; 9,27 ; etc.
« Bar-Sabbas » = fils du sabbat (ou de l’élevé, du vieux) — Ac 1,23 ; 15,22
« Bar-Tholomaïos » [Barthélemy] = fils de Tolmaï — Mt 10, 3 ; Mc 3, 18 ; Lc 6, 14 ; Ac 1, 13
« Bar-Timaïos » [Bartimée] = fils de Timée — Mc 10, 46

V. NOMS PROPRES DE LIEUX
« Gabbatha » = élévation — Jn 19,13
« Geth-sémani » = cuve/pressoir des huiles — Mt 26, 36 ; Mc 14, 32
« Golgotha » = crâne, lieu sphérique — Mt 27,33 ; Mc 15,22 ; Jn 19,17
« Hakel-dama » = le champ du sang — Ac 1,19
« Magdala » = tour, grande construction — Mt 15,39 ; cf. Mt 27,56 ; Jn 19,25 ; etc.
« Cana » [Qânâh] = roseau, canne — Jn 2, 1 ; 4, 46
« Galilaïas » [Galilée] = cercle, district — Mt 2, 22 ; etc.

VI. MOTS DU VOCABULAIRE LITURGIQUE
« Hosanna » = « Sauve donc ! » — Mc 11,9
« Paskha » [Pâque] = passage — Mt 26,18
« korbanas » [corban] = offrande religieuse, sacrifice, oblation — Mt 27, 6 ; cf. Mc 7, 11

VII. LES MOTS HÉBREUX DU N.T.
« amên » [amen] = « C’est d’accord ; oui, vraiment ; ainsi en est-il ! » — Mt 5, 18 ; 6, 2 ; etc.
« allêlouia » = « Louez Dieu ! Louange à Dieu ! Joie en Dieu ! » — Ap 19,1,3,4,6
« rabbi » = maître, mon maître — Mt 23, 7 ; Mc 9, 5 ; etc.
« messias » [messie] = oint, consacré, christ — Jn 1, 42 ; 4, 25
« Emmanouêl » [Emmanuel] = Dieu avec nous — Mt 1, 23 ; cf. Ap 21, 3
« Bêthléem » = maison du pain — Mt 2,1 ; Lc 2,4 ; etc.
« Béel (ou Baal)-zéboul » = maître du logis, maître princier — Mt 12, 24 ; etc.
« Iaïros » [Jaïre] = Il fait luire — Mc 5, 22 ; Lc 8, 41

CONCLUSION — Jésus s’adapte

Annexe : L’araméen n’a pas écrit son dernier mot


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17. Jésus dans les maisons

Cette étude ne rassemble pas tous les passages des évangiles où il est question de « maison ».

Car Jésus parle aussi bien de lui-même comme d’un « maître de maison » (Mt 10, 25), que du démon qui retourne dans « sa maison » (Lc 11, 24) après qu’elle ait été rangée…

Ici, nous allons visiter, en un petit parcours, toutes les maisons dans lesquelles Jésus est passé au cours de sa vie sur terre, et aussi les maisons ou demeures dont il parle…

Nazareth, Aïn Karem, Bethléem… les lieux des origines. Mais aussi Capharnaüm, Jéricho, Béthanie, Jérusalem… Tous ces lieux où Jésus s’arrête font de la maison un lieu de manifestation de la grâce et de la miséricorde divine.

Et nous savons bien que c’est dans la « maison du Père » que nous serons accueillis un jour gracieusement pour l’éternité.


TABLE DES MATIÈRES

I. NAZARETH : LES ORIGINES, L’ENFANCE, LA VIE CACHÉE
L’ange entra chez elle. Nazareth, la maison de la foi — Lc 1, 26-38
La maison de Joseph, maison de l’épreuve — Mt 1, 18-25
Aïn Karem. La maison des reconnaissances — Lc 1, 39-56
Bethléem, la grotte de la Nativité — Lc 2, 1-20
Il a dressé sa tente parmi nous — Jean 1, 10-14
Ne saviez-vous pas que je dois être chez mon Père ? — Lc 2, 40-52
Trente ans de vie cachée à Nazareth — Lc 2, 39-40 ; 51-52
Il se rend dans sa patrie. Nazareth, le lieu de la famille — Mc 6, 1-6

II. DES MAISONS AMIES : CAPHARNAÜM, BÉTHANIE
Le Fils de l’homme n’a pas où reposer la tête — Lc 9, 57-58
Capharnaüm. La maison de Pierre et d’André — Mc 1, 29-39
Capharnaüm. On apprit qu’il était à la maison — Mc 2, 1-12
Il vient à la maison, la foule se rassemble — Mc 3, 20
La maison, église domestique — Mc 3, 21-35
À Béthanie, chez Marthe, Marie et Lazare — Luc 10, 38-42

III. DES MAISONS OÙ SE MANIFESTE LA GRÂCE
Cana. La maison de l’alliance et des noces — Jn 2, 1-11
Capharnaüm : la maison de Jaïre — Mc 5, 22-24; 35-43
Dans la maison de Lévi : le repas avec les pécheurs — Lc 5, 27-32
À la maison : guérison de deux aveugles — Mt 9, 27-31
La maison : lieu d’un approfondissement — Mt 13, 36 ; Mc 7, 17 ; 9, 28. 33 ; 10, 10
Chez Simon le Pharisien, avec la pécheresse — Lc 7, 36-50
Jéricho : la maison de la conversion de Zachée — Lc 19, 1-10
À Béthanie, chez Simon le lépreux, le geste de Marie — Jn 12, 1-11
Jérusalem : la maison du repas pascal et de l’eucharistie — Lc 22, 7-16
Dans la maison de mon Père, il y a de nombreuses demeures — Jn 14, 1-3
Le tombeau où le corps de Jésus est déposé — Jn 19, 38-42

IV. LA DEMEURE DU RESSUSCITÉ
Les portes étant closes, Jésus vint — Jn 20, 19-23
Je suis là au milieu d’eux — Mt 18, 19-20
Je ne mérite pas que tu entres sous mon toit — Lc 7, 1-10
Si quelqu’un m’aime… — Jn 14, 23
J’entrerai chez lui pour souper — Ap 3, 20

CONCLUSION — L’Église à la maison


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16. Pierre, le roc

Découvrir et mieux connaître la personnalité et le cheminement spirituel de l’apôtre Pierre, tel sera le but de cette petite école biblique. Nous allons lire les passages évangéliques qui nous parlent de Pierre, dans l’ordre chronologique probable des textes qui nous sont parvenus : d’abord Marc, puis Matthieu et Luc, enfin Jean. L’évolution du regard sur Pierre est passionnante à observer.

Le cheminement spirituel de Pierre tel que Marc le retrace a une grande valeur, car on dit traditionnellement que son évangile reflète la prédication de Pierre. Vous verrez, cet itinéraire nous concerne tous… et nous fait réfléchir sur notre attachement à Jésus.

Dans les évangiles de Matthieu et de Luc, nous découvrons des passages que seuls ces évangélistes, séparément l’un de l’autre, ont consignés à partir de traditions orales et écrites.

La rédaction de l’évangile de Jean est située par les spécialistes vers L’an 100. L’apôtre Jean a vécu, quelque soixante-dix ans plus tôt, les événements qu’il nous relate. Il en fait une rédaction écrite avec la lumière que lui a donnée le compagnonnage quotidien avec Jésus, et celle de la résurrection.

Jean nous rapporte ces faits passés alors que, sur la fin de sa vie, la gnose et l’abandon de disciples de Jésus (cf. ses trois Lettres) provoquent en lui de nouvelles préoccupations. Sous sa plume, Pierre, disparu depuis déjà trente cinq ans, reçoit la plénitude de sa carrure spirituelle et ecclésiale, celle-là même que Jésus a voulu Lui donner.


TABLE DES MATIÈRES

I. PIERRE, MALTRAITÉ PAR MARC
Jusqu’à la profession de foi — Mc 1,16-18 ; 1,35-38 ; 3, 13-19
La profession de foi de Pierre — Mc 8,27-30 et 31-34
Pars derrière moi — Mc 8, 31-34
Lors de la Transfiguration — Mc 9,2-10
Trois autres épisodes — Mc 10,28-31 ; 11, 20-22 ; 13, 1-5
Jésus prédit le reniement de Pierre — Mc 14,26-31
À Gethsémani — Mc 14,32-42
Pierre suit « de loin » — Mc 14,50-54
Pierre renie Jésus — Mc 14,66-72
À la Résurrection, Pierre nommé en dernier — Mc 16, 5-8

II. LE REGARD DE MATTHIEU ET LUC SUR PIERRE
Jusqu’à la profession de foi — Mc 1,16-18 ; 1,35-38 ; 3, 13-19
Simon, tu es Képha — Mt 16, 16b-19
Les fils, exempts de l’impôt du temple — Mt 17, 24-27
La pêche miraculeuse — Lc 5, 3-11
Pierre responsable des autres serviteurs — Lc 12, 41 et 42-48
Simon, Simon, j’ai prié pour toi… affermis tes frères — Lc 22,31-32
Le regard de Jésus sur Pierre qui vient de le renier — Lc 22, 61
La venue de Pierre au tombeau — Lc 24,12
II est vivant, il est apparu à Simon — Lc 24,34

III. JEAN : LA CARRURE SPIRITUELLE ET ECCLÉSIALE DE PIERRE À LA FIN DU Ier SIÈCLE
Le premier que Jésus « regarda » est Simon. Plus tard, il l’appellera Céphas — Jn 1,35-44
Animé d’une foi vive et claire, Pierre sait reprendre les paroles de Jésus — Jn 6, 8. 52-71
Lors du lavement des pieds, Jésus annonce à Pierre qu’il aura part avec Lui — Jn 13, 1-15
Lors de l’annonce de la trahison de Judas, Pierre, par sa discrète intervention, dénoue une situation tragiquement délicate — Jn 13, 21-30
Avant même l’annonce des reniements de Pierre, Jésus lui annonce qu’il se l’unira jusque dans la mort — Jn 13, 36-38
Lors de l’arrestation de Jésus, Pierre agit dans la mouvance du divin — Jn 18, 2-11
L’affrontement du divin (c’est Moi) et de la faiblesse humaine dans le cœur de Pierre — Jn 18, 12-27
Les « bandelettes gisantes » au fond du tombeau dénouent pour Pierre les « liens » de l’arrestation et « ceux » du reniement — Jn 20, 2-10
Les sorts respectifs de Pierre et de Jean d’après le disciple de Jean — Jn 21, 1-23
Au cours de l’apparition de Jésus ressuscité et de la pêche miraculeuse, Pierre achève l’œuvre des autres disciples — Jn 21, 1-13
Jésus donne pour mission à Pierre de paître son troupeau — Jn 21, 15-19
L’ultime dialogue de Jésus, c’est avec Pierre ; il porte sur les sorts respectifs de Pierre et de Jean — Jn 21,20-23

CONCLUSION — Saint Pierre, le mystère et l’évidence


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