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107. Visite au tombeau vide

Nous sommes sans doute habitués à aborder la résurrection de Jésus à partir des récit d’apparitions dans les Évangiles. Cette fois-ci nous allons le faire en abordant les différents témoignages sur le tombeau trouvé vide au matin de Pâques.

Les Évangiles convergent dans l’affirmation de la première expérience pascale : « Il est ressuscité, il n’est pas ici ! »; mais ils relatent différemment l’histoire du tombeau vide. Qui s’y est rendu ? Qu’est-ce qui a été vu et entendu ? Comment comprendre, par exemple, que Marc met l’accent sur l’absence de Jésus, tandis que Paul insiste sur la présence de Jésus ressuscité, mais ne dit rien sur le tombeau vide ? Et beaucoup d’autres questions encore…

C’est toujours très intéressant de cerner de plus près la façon dont chacun des évangélistes traduit le même événement dans le cadre de sa propre oeuvre littéraire. Nous allons donc passer de Marc à Matthieu, puis à Luc, et enfin à Jean. Une lecture minutieuse des textes nous permet de découvrir et d’apprendre beaucoup de choses qui nous avaient échappées jusqu’à présent.


TABLE DES MATIÈRES

I. MARC — QUAND L’ÉPOUX EST ENLEVÉ

  1. L’ÉPOUX ENLEVÉ
    Une question posée à Jésus — Mc 2, 19-20
  2. LA RÉVÉLATION DU FILS DE DIEU
    « Voir » dans Marc
    Première épiphanie, le baptême — Mc 1, 9-11
    Deuxième épiphanie, la transfiguration — Mc 9, 2-10
    Troisième épiphanie, la mort — Mc 15, 33-39
    Jésus Fils de Dieu
  3. L’ÉVANGILE SE TERMINE EN 16, 8
    Finale brève et finale longue
    La scène du tombeau vide — Mc 16, 1-8
    Pourquoi l’absence d’af­firmation que Jésus est le Messie ou Fils de Dieu ?
    La proclamation de la résurrection précède la constatation du tombeau vide.
  4. LA RÉSURRECTION DU FILS DE L’HOMME
    Du Fils de Dieu au Fils de l’homme
    Jésus se présente lui-même comme Fils de l’homme
    Le récit du tombeau vide, attestation du Fils de l’homme
    Il n’est pas ici
    Ressuscité et enlevé, absent mais bientôt présent
    Elles ne dirent rien à personne car elles avaient peur
    Disparition — résurrection — enlèvement

II. LUC — C’EST BIEN MOI, TOUCHEZ-MOI

  1. LUC ADAPTE LE RÉCIT DU TOMBEAU VIDE
    La découverte du tombeau ouvert
    Les hommes dans le tombeau
    La résurrection est l’accomplissement des Écritures
    Luc minimise le rôle des femmes au tombeau
  2. L’APPARITION À SIMON-PIERRE ET SA VISITE AU TOMBEAU
    La mention de l’apparition de Jésus ressuscité à Pierre
    Où placer cette apparition de Jésus à Pierre ?
  3. VOYONS-NOUS UN ESPRIT ?
    Un fantôme ? La vision d’une entité ?
    Une interprétation pneumatique de la résurrection ?
    La corporéité en chair et en os de la résurrection
    Corps-sorti-du-tombeau et événement en-chair-et-en-­os

III. MATTHIEU — JÉSUS VINT À LEUR RENCONTRE

  1. MATTHIEU ADAPTE LE RÉCIT DU TOMBEAU VIDE
    Pour voir le tombeau
    L’ange roule la pierre
    Voilà, je vous l’ai dit
  2. JÉSUS RESSUSCITÉ AU TOMBEAU
    L’apparition aux femmes
    Les gardes au tombeau
    La résurrection des saints
    Des réponses aux objections venues de l’extérieur
  3. L’APPARITION SUR LA MONTAGNE DE GALILÉE
    Le Fils de l’homme exalté
    La mission des disciples depuis la Galilée

IV. JEAN — LÀ OÙ JE VAIS, VOUS NE POUVEZ VENIR

  1. JEAN ADAPTE LE RÉCIT DU TOMBEAU VIDE
    On a enlevé le Seigneur
    L’inspection du tombeau vide par Pierre et Jean
  2. LA RENCONTRE DE MARIE-MADELEINE AVEC JÉSUS RESSUSCITÉ
    J’ai vu le Seigneur
    Ne me touche pas
  3. LA RÉSURRECTION DE JÉSUS COMME HUITIÈME SIGNE
    La résurrection comme signe
    Jésus présent dans l’Esprit
    Un ange passe…

CONCLUSION — Le tombeau vide au coeur du message

ANNEXE : RESSOURCES POUR DÉCOUVRIR LE SAINT SÉPULCRE DE JÉRUSALEM


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104. Le prologue de Jean

Si nos quatre évangiles en viennent à affirmer l’identité divine de Jésus, c’est le quatrième (attribué à Jean) qui en tire jusqu’au bout les conséquences, en aval de sa vie terrestre jusqu’en amont. En aval, c’est-à-dire ce qui suit la vie-mort-résurrection de Jésus : il monte au ciel et s’assoit à la droite de Dieu, façon biblique de dire que le Ressuscité partage désormais sa domination sur l’univers. De cette réalité, les évangiles synoptiques en rendent compte.

Mais Jean va plus loin, jusqu’à affirmer la préexistence de Jésus (ou de celui qui allait devenir Jésus en s’incarnant) en amont de sa vie terrestre, avant les jours de sa chair. Si Jésus est Dieu, ce qui sera pleinement manifeste pour les témoins de la résurrection, il ne peut être qu’éternel. Or donc, il faut qu’il « soit » depuis toujours, même avant la création du monde, ce qu’affirme le prologue. Sans nier cette réalité d’une préexistence éternelle de la personne du Christ, les évangiles synoptiques ne l’expriment pas, se contentant d’explorer le versant terrestre de la vie de Jésus, de sa conception à son ascension.

Cette idée de l’origine mystérieuse et éternelle de Jésus qui parcourt tout le quatrième évangile est annoncée par le prologue, dès ses premiers mots : « Au commencement était le Verbe et le Verbe était tourné vers Dieu et le Verbe était Dieu. » (Jn 1, 1).

TABLE DES MATIÈRES

I. LE VERBE VIENT, v. 1-11

  1. LE VERBE ÉTAIT TOURNÉ VERS DIEU — v. 1-5
    D’où vient le titre de Verbe ?
    Au commencement…
    La Sagesse personnifiée
    Du Verbe à Jésus
    L’activité créatrice du Verbe
    Le Verbe, Vie et Lumière
    La ténèbre ne l’a pas saisie
  2. LE TÉMOIGNAGE DE JEAN — v. 6-8
    La figure de Jean-Baptiste
    Jean le témoin
  3. LA VENUE DU VERBE DANS LE MONDE — v. 9-11
    La lumière, le véritable qui illumine tout homme
    La lumière vient dans le monde
    Le refus de la lumière

II. ENFANTS DE DIEU, v. 12-13
Le pouvoir de devenir enfants de Dieu
À ceux qui croient en son Nom
Eux, non pas de sangs, ni d’une volonté de chair, ni d’une volonté d’homme
Mais de Dieu ont été engendrés

III. RÉVÉLATEUR DU PÈRE, v. 14-18

  1. LE VERBE CHAIR EST DEVENU — v. 14
    Le Logos fait chair
    Il a dressé sa tente
    Et nous avons contemplé sa gloire
    Comme unique-engendré auprès du Père, plein de grâce et de vérité
  2. LE CRI DE JEAN — v. 15
    Celui qui vient derrière moi
  3. LA GRÂCE DE CONNAÎTRE LE PÈRE — v. 16-18
    Grâce sur grâce
    Dieu, personne ne l’a jamais vu
    Vers le sein du Père
    C’est lui qui a conduit à le connaître

CONCLUSION — Dès le porche, un choix à faire

ANNEXES
Saint Irénée : le Fils est l’exégète du Père
Le chapitre 1, une nouvelle création
Images bibliques de la présence divine
En quoi l’évangile de Jean est-il différent ?
Dieu vient comme lumière, par son Verbe, dans nos cœurs
La chair de la vie selon Jean
Pour chanter le prologue


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87. Je suis

En feuilletant l’évangile selon saint Jean, nous entendons Jésus nous dire :  » Je suis le pain de vie  » (6,35) ;  » Je suis la lumière du monde  » (8,12) ;  » Je suis la porte  » (10,9) ;  » Je suis le bon berger  » (10,11.14) ;  » Je suis la résurrection  » (11,25) ;  » Je suis le chemin, la vérité et la vie  » (14,6), etc.

C’est tellement coutumier, que cela n’attire plus notre attention. C’est pourquoi nous allons regarder de plus près les dix passages de cet évangile où Jésus révèle qui il est, de cette façon.

Si nous étudions les évangiles, ce n’est pas seulement pour découvrir le « Jésus de l’histoire », comme le ferait un historien en gardant sa distanciation critique. C’est aussi pour affermir notre foi en sa divinité.

Il ne suffit pas de dire : « On peut légitimement s’interroger sur sa divinité, puisque Jésus n’a jamais dit clairement qu’il était Dieu ». Il faut comprendre de quelle façon il affirme sa divinté. Son « Je suis » est, de ce point de vue, essentiel et incontournable.

Table des matières

I. « JE SUIS » DANS L’ÉVANGILE DE JEAN

  1. Le sens courant de « Je suis »
    Jésus dit « je suis » pour désigner un lieu
    Jésus dit « je suis » pour désigner une appartenance
    D’autres personnages disent « je suis »
  2. Jésus dit « Je suis » en un sens théologique
    a) “Egô eimi” avec un attribut explicite (14 fois)
    b) “Egô eimi” pour identifier celui qui parle (5 fois)
    c) “Egô eimi” à l’état absolu (4 fois)

II. « JE SUIS » DANS L’ANCIEN TESTAMENT

  1. Le sens courant de « Je suis »
  2. «JE SUIS » désigne le Nom divin de Yahvé (YHWH)
    a. Dans le Second Isaïe
    b. Dans le livre de l’Exode

III. « JE SUIS » DANS L’APOCALYPSE

IV. L’INTERPRÉTATION JOHANNIQUE DE « JE SUIS »

  1. « Je suis » avec un attribut
    Sept symboles
    Liés à la vie éternelle
    L’identité divine de Jésus
  2. « Je suis » pour identifier celui qui parle
    a) “C’est Moi (egô eimi), celui qui te parle” (4,26)
    b) “C’est moi (egô eimi). N’ayez pas peur” (6,20)
    c) “C’est moi (egô eimi)” (18,5)
    3.  « Je suis » à l’état absolu
    a) “Si vous ne croyez pas que Moi, Je Suis…” (8,24)
    b) “Alors vous saurez que Moi, Je Suis” (8,28)
    c) “Avant qu’Abraham existât, Moi, Je Suis” (8,58)
    d) “Vous croyiez que Moi, Je Suis” (13,19)

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ÉMISSIONS

28. Apocalypse 1-11

Le livre de l’Apocalypse peut nous sembler hermétique, voire ésotérique. Il a donné lieu au cours de l’histoire de l’Église à de très nombreux commentaires, aujourd’hui encore. Son aspect « crypté » fascine quelque peu…

J’ai publié une étude de l’Apocalypse en 1984 « l’Apocalypse, Lettre ouverte aux Martyrs ». Dans ce livret, je souhaite donner simplement quelques clés, permettant de faciliter une première lecture du texte présent dans nos Bibles.

Le nombre très étendu de « codes » utilisés dans l’Apocalypse nécessite cependant de se reporter à la lecture d’un commentaire plus approfondi. Je ne donne ici que des pistes montrant la cohérence de l’ensemble; il y a encore beaucoup, beaucoup plus à découvrir en allant dans les détails.

Afin de vous éviter les migraines intempestives, j’ai étendu sur deux livrets successifs la petite étude biblique, puisque le livre se laisse aisément partitionner.


TABLE DES MATIÈRES

PROLOGUE
Écris !
Pour montrer
Il vient
Architecture du livre

  1. LES SEPT LETTRES
    Jésus, le Vivant, et l’Église — 1, 12-20
    Le chiffre 7
    Les 7 lettres — 1, 9 – 3, 22
    Balaam et les Nicolaïtes — 2, 6. 14-15
    La prophétesse Jézabel et les profondeurs de Satan — 2, 20-25
    Le vainqueur
  2. L’OUVERTURE DU LIVRE AUX SEPT SCEAUX
    Le ciel s’ouvre
    Le trône et Celui qui siège — 4, 2-6
    La louange au Créateur — 4, 6-11
    Le livre en forme de rouleau et l’Agneau — 5, 1-14
    Les quatre cavaliers — 6, 1-8
    L’appel des martyrs à la justice — 6, 9-11 et 8,1
    Le Jour de la colère de l’Agneau — 6, 12-17
    Les 144 000 marqués du sceau — 7, 1-8
    La foule immense vêtue de blanc — 7, 9-17
  3. LA SONNERIE DES SEPT TROMPETTES
    Les 7 anges devant la face de Dieu — 8, 1-6
    Les quatre premières trompettes — 8, 7-13
    Les sauterelles de la destruction nihiliste — 9, 1-12
    Les chevaux de la guerre mondiale — 9, 13-21
    L’ange porteur du petit livre ouvert — 10, 1-11
    Jean mesure le Temple — 11, 1-3
    Les deux témoins — 11, 3-10
    La mort et l’exaltation des deux témoins — 11, 7-14
    La 7° trompette, louange prophétique annonçant la suite — 11, 15-19

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16. Pierre, le roc

Découvrir et mieux connaître la personnalité et le cheminement spirituel de l’apôtre Pierre, tel sera le but de cette petite école biblique. Nous allons lire les passages évangéliques qui nous parlent de Pierre, dans l’ordre chronologique probable des textes qui nous sont parvenus : d’abord Marc, puis Matthieu et Luc, enfin Jean. L’évolution du regard sur Pierre est passionnante à observer.

Le cheminement spirituel de Pierre tel que Marc le retrace a une grande valeur, car on dit traditionnellement que son évangile reflète la prédication de Pierre. Vous verrez, cet itinéraire nous concerne tous… et nous fait réfléchir sur notre attachement à Jésus.

Dans les évangiles de Matthieu et de Luc, nous découvrons des passages que seuls ces évangélistes, séparément l’un de l’autre, ont consignés à partir de traditions orales et écrites.

La rédaction de l’évangile de Jean est située par les spécialistes vers L’an 100. L’apôtre Jean a vécu, quelque soixante-dix ans plus tôt, les événements qu’il nous relate. Il en fait une rédaction écrite avec la lumière que lui a donnée le compagnonnage quotidien avec Jésus, et celle de la résurrection.

Jean nous rapporte ces faits passés alors que, sur la fin de sa vie, la gnose et l’abandon de disciples de Jésus (cf. ses trois Lettres) provoquent en lui de nouvelles préoccupations. Sous sa plume, Pierre, disparu depuis déjà trente cinq ans, reçoit la plénitude de sa carrure spirituelle et ecclésiale, celle-là même que Jésus a voulu Lui donner.


TABLE DES MATIÈRES

I. PIERRE, MALTRAITÉ PAR MARC
Jusqu’à la profession de foi — Mc 1,16-18 ; 1,35-38 ; 3, 13-19
La profession de foi de Pierre — Mc 8,27-30 et 31-34
Pars derrière moi — Mc 8, 31-34
Lors de la Transfiguration — Mc 9,2-10
Trois autres épisodes — Mc 10,28-31 ; 11, 20-22 ; 13, 1-5
Jésus prédit le reniement de Pierre — Mc 14,26-31
À Gethsémani — Mc 14,32-42
Pierre suit « de loin » — Mc 14,50-54
Pierre renie Jésus — Mc 14,66-72
À la Résurrection, Pierre nommé en dernier — Mc 16, 5-8

II. LE REGARD DE MATTHIEU ET LUC SUR PIERRE
Jusqu’à la profession de foi — Mc 1,16-18 ; 1,35-38 ; 3, 13-19
Simon, tu es Képha — Mt 16, 16b-19
Les fils, exempts de l’impôt du temple — Mt 17, 24-27
La pêche miraculeuse — Lc 5, 3-11
Pierre responsable des autres serviteurs — Lc 12, 41 et 42-48
Simon, Simon, j’ai prié pour toi… affermis tes frères — Lc 22,31-32
Le regard de Jésus sur Pierre qui vient de le renier — Lc 22, 61
La venue de Pierre au tombeau — Lc 24,12
II est vivant, il est apparu à Simon — Lc 24,34

III. JEAN : LA CARRURE SPIRITUELLE ET ECCLÉSIALE DE PIERRE À LA FIN DU Ier SIÈCLE
Le premier que Jésus « regarda » est Simon. Plus tard, il l’appellera Céphas — Jn 1,35-44
Animé d’une foi vive et claire, Pierre sait reprendre les paroles de Jésus — Jn 6, 8. 52-71
Lors du lavement des pieds, Jésus annonce à Pierre qu’il aura part avec Lui — Jn 13, 1-15
Lors de l’annonce de la trahison de Judas, Pierre, par sa discrète intervention, dénoue une situation tragiquement délicate — Jn 13, 21-30
Avant même l’annonce des reniements de Pierre, Jésus lui annonce qu’il se l’unira jusque dans la mort — Jn 13, 36-38
Lors de l’arrestation de Jésus, Pierre agit dans la mouvance du divin — Jn 18, 2-11
L’affrontement du divin (c’est Moi) et de la faiblesse humaine dans le cœur de Pierre — Jn 18, 12-27
Les « bandelettes gisantes » au fond du tombeau dénouent pour Pierre les « liens » de l’arrestation et « ceux » du reniement — Jn 20, 2-10
Les sorts respectifs de Pierre et de Jean d’après le disciple de Jean — Jn 21, 1-23
Au cours de l’apparition de Jésus ressuscité et de la pêche miraculeuse, Pierre achève l’œuvre des autres disciples — Jn 21, 1-13
Jésus donne pour mission à Pierre de paître son troupeau — Jn 21, 15-19
L’ultime dialogue de Jésus, c’est avec Pierre ; il porte sur les sorts respectifs de Pierre et de Jean — Jn 21,20-23

CONCLUSION — Saint Pierre, le mystère et l’évidence


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